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Sortir de l'acrasie : et si vous n'étiez pas si "fainéant" que ça ?

Il vous est déjà arrivé de savoir exactement ce que vous deviez faire... sans pour autant le faire ? D'avoir une to-do list pleine, un objectif clair, une envie sincère de changer... mais de vous retrouver sur le canapé, paralysé, ou à tout faire sauf ça ? Ce phénomène porte un nom : l'acrasie. Et non, ce n'est ni de la paresse, ni un manque de volonté. C'est un fonctionnement humain, universel, et bonnement... contournable !


1. L'acrasie, c'est quoi ? L'acrasie est ce curieux paradoxe entre ce que l'on veut faire, et ce que l'on fait vraiment. C'est l'écart douloureux entre l'intention et l'action. Philosophiquement décrite depuis Socrate, elle touche tout le monde. Même les plus organisés, les plus "motivés", les plus conscients de leurs objectifs.

Elle se manifeste par :

  • la procrastination chronique,

  • l'auto-sabotage doux,

  • les promesses qu'on se fait... et qu'on ne tient pas,

  • cette fatigue floue d'agir "plus tard" alors qu'on sait que maintenant serait mieux.


2. Pourquoi c'est normal (et pas de votre faute) Notre cerveau est programmé pour éviter l'effort, le changement, l'inconfort. L'acrasie est une réaction naturelle à un trop plein : trop d'attentes, trop d'exigence, trop de peur à l'idée d'échouer. Elle surgit quand une partie de nous dit : "je veux avancer", et qu'une autre répond : "je ne me sens pas prêt.e".

Et si on commençait par ne pas se juger ? Et si c'était un appel à ralentir, à mieux s'écouter, à changer notre manière de nous mettre en mouvement ?


3. Des pistes concrètes pour retrouver l'élan

Voici quelques approches douces et efficaces pour transformer l'acrasie en mouvement, à votre rythme :

  • Le coaching : Il aide à clarifier les objectifs, à créer des stratégies simples, réalistes, et motivantes. On travaille sur le "comment avancer maintenant avec ce que j'ai", sans culpabiliser.

  • L'hypnose : Elle permet d'aller désamorcer les blocages inconscients, de renouer avec l'énergie d'agir, et de remettre du calme entre les parts de soi qui s'opposent.

  • Les micro-actions : Plutôt que de viser grand, commencez par une action minuscule. Ranger un tiroir, ouvrir le document, mettre ses baskets. Le mouvement attire le mouvement.

  • La bienveillance active : Se parler comme à un ami : "Tu as du mal aujourd'hui, et c'est ok. Que pourrais-tu faire de tout petit, maintenant ?"


V



ous faites déjà de votre mieux L'acrasie n'est pas un défaut moral. C'est un signal. Un appel à réconcilier ce que je veux et ce que je vis. Et bonne nouvelle : cela se travaille, avec douceur, curiosité, et des outils puissants comme le coaching et l'hypnose.

Alors... si vous commenciez juste par respirer, et par vous dire : "Je ne suis pas seul.e, et j'avance comme je peux."

 
 
 

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